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D’après Baudelaire, le romantisme au XIXe siècle était un art moderne empreint d'intimité, de spiritualité et de couleur. Il devait tendre vers l'infini et s'exprimer par tous les moyens que contiennent les arts.
Fidèle à cette école de pensée, Mondariso replonge le lecteur dans une époque où tout redevenait possible. Les bouleversements politiques et industriels ayant accompagné ce grand siècle allaient bousculer l’existence de bon nombre de personnes. Caterina, jeune couturière d'humble condition, sera l'une d'entre elles.
Vous suivrez pas à pas le récit hors du commun de cette jeune femme qui, depuis son petit village de Vénétie, poursuivra un chemin étrange qui la conduira jusqu'aux fastes et aux intrigues de la cour de Napoléon III. Mondariso est un roman historique ; en effet les aventures qu’il relate s’appuient sur une trame de fond historique authentique qui vous transportera dans l’Europe du XIXe siècle.
Tome 1 - Caterina
Poursuivez le voyage de cette jeune femme dans l'Italie du XIXe siècle. Avide de connaissance et guidée par la passion, les circonstances de la vie la conduiront à le poursuivre jusqu'en France.
Tome 2 - Osanne
Paris, 1867. Un attentat vient d’avoir lieu. Quel rapport celui-ci a-t-il avec le dîner des trois empereurs ? Qui est réellement la mystérieuse Osanne ? Pourquoi le fils de Caterina, Antoine de Tartas, sera-t-il condamné pour l’avoir trop aimée ? Vous le découvrirez en poursuivant le récit de Caterina Ghiotto, jeune couturière à la personnalité hors du commun. Saura-t-elle affronter les démons qui resurgiront de son passé ?
Pourquoi Mondariso ?
De tout temps, des hommes et des femmes ont voyagé à la recherche d'une vie meilleure, ou tout simplement pour fuir la misère et les tourments du hasard. Au XIXe siècle déjà, des femmes de différentes origines, surnommées les « Mondariso », venaient travailler dans cette région du Piémont afin de gagner leur droit à l’indépendance. C'est dans les rizières de Verceil que Caterina fera une rencontre qui bouleversera sa vie et la conduira vers un tout autre destin.
Cette réalité qui existait au XIXe siècle vient aujourd'hui frapper nos consciences. Caterina aurait pu faire partie de ces hommes et de ces femmes qui de nos jours encore franchissent pour la plupart les portes de l'inconnu pour nul autre mobile que celui de gagner leur droit à la liberté ou à leur simple survie...
Vérone, Milan, Trévise, Saint-Paul-de-Tartas, Paris, Londres, le Puy-en-Velay...
Laissez-vous immerger dans cette Europe du XIXe siècle et partez à la découverte des trésors cachés de ce patrimoine universel. Cette rubrique vous présentera au fil de l'eau un lieu inédit du roman. Alors n'hésitez pas y à revenir régulièrement !
Brescia :
" […] Car Brescia, comme ses nobles voisines, était une ville pleine de charme et de couleurs. On y retrouvait cet habitat si typique où les façades semblaient comme reliées entre elles par un maillage bigarré de vêtements étendus, pavoisant tels des drapeaux offerts à la force du vent. Ce vent qui dans la chaleur de l'été s'engouffrait dans les ruelles et apaisait les habitants par sa fraîcheur revigorante. Cette ville, comme tant d'autres en Italie, avait appris à dompter la rigueur et les caprices du climat. Et tout cet ensemble, à l'atmosphère dominée par le chant des voix, donnait à chacun le sentiment de vivre au sein d'une fête permanente. "
Vérone :
" […] La via principale dans laquelle elles venaient de s’engager était un mélange harmonieux de différents styles qui, depuis l’époque romaine, avaient enrichi la cité en lui donnant cette teinte architecturale colorée et sans nulle autre pareille. Les habitations s’entremêlaient avec les commerces ouverts dans lesquels les marchands offraient à la vue du chaland des produits de toutes sortes issus de l’agriculture ou de l’artisanat. Les odeurs de thym, de romarin et de parfums d’essences rares que tout le monde pensait oubliées depuis Jules César venaient s’associer avec celles des mets délicats qui donnaient envie, non plus de sentir la ville, mais de la dévorer. "
Milan :
" […] La diligence s'arrêta au relais principal qui se situait à l'entrée est de la ville. En descendant de la diligence, Caterina fut étourdie de voir d'innombrables personnes aller et venir en tous sens. Face à elle s'ouvraient de grandes artères qui éventraient une forêt d'immeubles tous plus hauts les uns que les autres. Le bruit de la ville résonnait de partout en venant frapper les façades immenses et le pavé des grandes rues sur lesquelles de nombreuses voitures à cheval circulaient à grande vitesse. Caterina fut aussi ébahie de voir les robes de ces femmes qui déambulaient sur un promontoire étrange, sans fin, et de seulement quelques pouces plus haut que le sol. Elle apprendrait bientôt l'usage commode de ces incontournables trottoirs… "
Partez à la découverte de lieux inédits !
©Mondariso, tous droits réservés (Mld'A).